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PRESS REVIEW

Nov 25, 2015

The McGill Symphony Orchestra concert in Koerner Hall, Toronto

 “ A nonstop flight the following morning got me to Toronto and Koerner Hall in time to hear Alexis Hauser (a Viennese conductor who is, in my quaint opinion, no less capable than Barenboim) lead the McGill Symphony Orchestra, which is generally deemed the best student band in the land.

Now, it is not as though we often have a chance to judge the other candidates. All the same, this fiery account of Shostakovich’s Fifth Symphony had the stamp of championship work. Strings were searing or spectral as required. Accents were exacting in the Allegretto and the celesta and harp effects of the Largo could hardly have been more magical. Brass in finale were bold, never coarse. The balance of bombast and bitterness was caught to perfection.

OK, maybe the Vienna Philharmonic strings would have sounded plusher in the slow movement, with its many sectional divisions. But in other respects the search for ways in which this “student” performance sounded less than fully professional was futile. Solos everywhere were superb (three cheers for that glowing principal flute). And all the technical particulars came packaged with the enthusiasm of youth and the insight of a conductor who was aware of the tragic dimension of the music.

Before intermission we heard Over Time, John Rea’s crafty 1987 study in becoming without being, and Brahms’s Double Concerto, which brought together the embracing cello of Matt Haimovitz and the clarion violin of Axel Strauss. Their slightly different perspectives enlivened the work. And fear not. They got it very much together in the heartwarming Andante. This concert on tour was aimed at McGill alumni, who applauded early and often.

National Post

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Feb 28, 2015

Monumentale Turangalîla-Symphonie

(...) Quant à l'interprétation de l'Orchestre symphonique de McGill sous la direction d'Alexis Hauser, on ne peut qu'applaudir. Une fois de plus, le maestro a réussi à soutirer le maximum d'un orchestre d'étudiants des plus fervents et de solistes professionnels aguerris (la pianiste Kyoto Hashimoto, l'ondiste Estelle Lemire), sans pour autant rivaliser avec les interprétations de cette même oeuvre par de grands orchestres symphoniques professionnels. Dans un tel contexte, difficile voire impossible d'exiger davantage de cohésion, de précision, d'intelligibilité. Et il y a lieu de s'en réjouir. (...)

Alain Brunet

Dec 2, 2014

R. Strauss – Alpine Symphony - McGill orchestra heads for the summit

This is a big year for Richard Strauss, a composer born in 1864. It also sounds like a good year for the McGill Symphony Orchestra, which presented Eine Alpensinfonie – An Alpine Symphony – Saturday night at St. Jean Baptiste Church under the baton of Alexis Hauser. There is no bigger purely instrumental piece, or a more extravagantly imagistic one. You need not only plenty of personnel (the count was 110) but brass players who can convey the lower depths of night and the galloping sonorities of a hunting party in the distance. To say nothing of woodwinds equal to the cascades of the waterfall, strings who know what a summit view should sound like and a percussion battery capable of raising the ante of a thunderstorm to something like an earthquake. Happily all these effects were bound by feeling of symphonic intensity. Conducting from memory, Hauser made the ascent and descent seem dramatic rather than merely picturesque. An added bonus was the powerful St. Jean Baptiste organ.

THE GAZETTE (Arthur Kaptainis)

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Dec 1, 2014

Un digne homage

Cette belle soirée est une occasion de souligner une fois de plus le plaisir qu’on éprouve à entendre les interprétations d’Alexis Hauser, qui préside aux destinées de l’Orchestre symphonique de McGill depuis 2001. Mieux encore que Kent Nagano et Yannick Nézet- Séguin, en octobre, Hauser me semble avoir saisi les flux et ressacs des Quatre derniers Lieder, notamment dans l’introduction d’Im Abendrot, l’ultime Lied. Dans la Symphonie alpestre, Alexis Hauser a cadré avec précision tous les sortilèges d’orchestration, y compris la présente d’un groupe de cuivres sur les hauteurs lors de l’Ascension. La direction nette et énergique chauffe les groupes instrumentaux dans un flux logique. La lenteur excessive et pédante, qui plombe souvent cette symphonie, aurait été une trahison de l’esprit et de l’esthétique.

Le Devoir ( Christophe Huss)

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Oct 7, 2012

Bruckner Symphony No. 4 in Montréal

Alexis Hauser opened the McGill Symphony Orchestra season on Saturday with an ambitious program of the sort one might expect to hear towards the end of the Saison.The main event was Bruckner’s Fourth Symphony in a performance that was noble, dramatic, rich in imagery and astoundingly secure as musical architecture. And technically accurate? Yes, this too, after some debugging in the first movement.
Strings were rich in the Andante. I cannot remember a more songful treatment of the viola tune, so finely adorned with dynamic swells and subtle accents. Woodwinds in the trio of the Scherzo seem to have been imported straight from Upper Austria.
The performance reached an apotheosis in the finale, like the Andante a marvel of unbroken narrative and in no way episodic. We saw the lily, the roaring cataract and the sky above. Did I mention that this score is nicknamed “Romantic”? Trumpets and lower brass, impressive throughout, seemed to sense the magnitude of their mission and they approached the end. They richly deserved their bravos. As did Hauser, master architect, master painter, master conductor

THE GAZETTE (Arthur Kaptainis)

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Oct 7, 2012

Bruckner Symphony No. 4 in Montréal

“…Cette année encore, comme depuis 12 ans, on retrouve au pupitre le très énergique et très inspirant chef autrichien Alexis Hauser et le même engagement total chez les jeunes musiciens. La réussite de Hauser se maintient d'année en année. En fait, on ne voit pas qui pourrait faire mieux!  Hauser lance le concert en trombe avec la tapageuse ouverture Le Corsaire de Berlioz. Les violents tutti répétés tombent avec force et précision, les passages plus lyriques découvrent des cordes au parfait legato et l'éblouissant résultat laisse pantois.  Dirigeant de mémoire, selon sa bonne habitude, Hauser consacre l'après-entracte à la quatrième Symphonie de Bruckner.…. Pour l'ensemble, Hauser signe là une autre très convaincante interprétation, avec quelques ritardandos improvisés mais défendables, notamment au trio central du Scherzo. Il obtient de la masse des cordes (aux violons disposés de part et d'autre du podium) cette «sonorité d'orgue» souvent associée à Bruckner et commande à l'orchestre tout entier une puissance absolument écrasante où l'expression a toujours la première place.  Bref, une soirée de bonheur comme on n'en vit pas nécessairement chez nos deux orchestres professionnels. On aime bien répéter que les jeunes d'aujourd'hui sont réfractaires à la grande musique. Or, il faut voir et entendre avec quel amour les jeunes musiciens de McGill abordent Bruckner, observer aussi ce public qui, composé en bonne partie d'auditeurs dans la vingtaine, connaît les habitudes du concert mieux que bien des adultes, écoute dans un parfait silence et, surtout, n'interrompt pas le discours musical par des applaudissements entre les mouvements. Quel bonheur, oui, de se retrouver, un soir, ailleurs qu'à la Maison dite «symphonique»

LA PRESSE (Claude Gingras)

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Apr 9, 2011

Colossale Faust-Symphonie de Liszt

Alexis Hauser avait fait un choix original pour le bicentenaire de la naissance de Franz Liszt: la rare Faust-Symphonie. Il l'a montée avec l'Orchestre symphonique des étudiants de McGill, dont il est l'infatigable titulaire, en y adjoignant la Sinfonietta, de création récente, pour former un énorme orchestre de 100 musiciens, et en revenant à la version définitive dans laquelle Liszt ajoute un bref épisode pour ténor et choeur d'hommes. (...)

Claude Gingras

Nov 7, 2010

Orchestre symphonique de McGill: Hauser, chef énergique et stimulant

C'est un programme axé sur le brio orchestral, et parfaitement rendu comme tel, qu'Alexis Hauser présentait vendredi soir avec les 100 jeunes de l'Orchestre symphonique de McGill dont il est le titulaire. (...)

Claude Gingras

Oct 5, 2009

Hauser-McGill: exaltant

L'histoire se repete: Alexis Hauser et l'Orchestre symphonique des etudiants de McGill ont ouvert leur saison vendredi par un autre concert d'une qualite exceptionnelle et, de nouveau, la soiree nous revela un talent prodigieux sorti de l'illustre institution, cette fois Alexander Read, violoniste de 22 ans. (...)

Claude Gingras

Oct 7, 2007

Bruckner Symphonie No. 3 - Montréal
"Hauser - formule a succes"

Alexis Hauser lancait jeudi soir la nouvelle saison de l'Orchestre symphonique de McGill avec 97 jeunes musiciens en scene. Le chef viennois avait choisi comme piece de resistance la troisième Symphonie de Bruckner. (...) Inbal, Tintner et Nagano, entre autres, ont choisi d'enregistrer la version de 1873, meme si la plupart des chefs preferent la version finale de 1889. Alexis Hauser, lui, se tient a mi-chemin et dirige la version de 1877 (la deuxième), qui comporte notamment une coda en fin de scherzo; en meme temps, il y incorpore certains elements de la version de 1889, ce qui l'autorisait a parler de "première canadienne" a propos de la prestation de jeudi. Ce concert (repris le lendemain) nous valut une autre parfaite illustration de la «formule Hauser». Le chef dirige de memoire, il sait exactement, a chaque instant, ou les choses se passent et obtient (...) une execution d'un niveau professionnel totalisant 68 minutes. (...) La troisieme Symphonie de Bruckner n'est pas sa plus interessante: elle manque de themes attachants et verse souvent dans la naivete. Mais Hauser l'a choisie et la fait bien passer. Les cordes (65 au total) sont massives, la puissance des cuivres laisse respirer les bois, le discours possede cohesion et musicalite. Wagner, a qui Bruckner dedia sa troisieme Symphonie, ouvre le concert avec un fracassant Prélude des Meistersinger. (...)

LA PRESSE (Claude Gingras)

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Oct 7, 2007

Hauser - formule a succes

Alexis Hauser lancait jeudi soir la nouvelle saison de l'Orchestre symphonique de McGill avec 97 jeunes musiciens en scene. Le chef viennois avait choisi comme piece de resistance la troisième Symphonie de Bruckner. (...)

Claude Gingras

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Dec 30, 2002

Mahler Symphony No. 10 (Performing Version: D. Cooke)

"MAGISTRAL MAHLER": En pleine possession - l'esprit comme la lettre - d'une partition dont je ne l'ai jamais vu tourner les pages, et en plein controle d'un orchestre de plus de 100 musiciens qui lui répondait instantanément, je dirais meme affectueusement, le chef viennois ayant grandi dans le milieu meme où vécut Mahler produisit là une interprétation d'un très haut niveau, avec un Adagio initial parfaitement soutenu pendant 27 minutes, deux Scherzos attaqués et conduits vigoureusement, et un finale secoué de violents coups de grosse caisse militaire..."

LA PRESSE (Claude Gingras)

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Dec 30, 2002

Mahler Symphony No. 10 (Performing Version: D. Cooke)

10 FOR MAHLER'S 10th: McGill Symphony superb...The violas spoke with unearthly radiance at the start of this visionary Adagio and the dissonant fortissimo climax was startling in its cohesion and impact. Brass playing was superb. Woodwinds confidently traded stresses with the strings in the rapid inner movements...Harp flourishes were dynamic through-out. It took a real conductor to elicit these results. Hauser showed a knack for finding the right tempo and sustaining a line without letting it deteriorate into a run-on sentence. He clearly had the complete respect of his charges(...)

THE GAZETTE (Arthur Kaptainis)

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Jan 31, 2002

Stravinsky's "The Rake's Progress" in Montreal

"Opera McGill last night made the best possible case for The Rake's Progress. (...) However bloodless Stravinsky's neoclassical score can sound, it does not want for momentum. Conductor Alexis Hauser kept everything moving nicely in the auction scene and gave the sentimental music all its mock-lyrical due. Reedy woodwinds stood out nicely against rich strings and the harpsichord playing (notably in the dramatic graveyard scene) was atmospheric. (...)

THE GAZETTE (Arthur Kaptainis)

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Jan 31, 2002

Stravinsky's "The Rake's Progress" in Montreal

"...Magnifiquement préparés,(...) évoluant dans une mise en scène où la tragédie progresse véritablement à travers l'humour et l'absurde, et recevant la direction extremement agissante et musicale d'Alexis Hauser, tous ces jeunes ont donné une réalisation très fidèle de la création conjointe de Stravinsky et du poète Auden de cette nouvelle vision de la légende de Faust. La distribution d'hier soir(...) est remarquable dans tous ses élements.(...)".

LA PRESSE (Claude Gingras)

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Dec 2, 2001

Verdi – Falstaff in Montréal

"...Verdi's Falstaff (...) under Alexis Hauser was a revelation."

THE GAZETTE

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Dec 2, 2001

Verdi – Falstaff in Montréal

"Falstaff a recu à McGill une realisation absolument étonnante. Alexis Hauser, le nouveau directeur musical, a dirigé cette production à un rythme endiablé. Il connait à fond cette partition dont il n'a meme pas besoin de tourner les pages!"

LA PRESSE (Claude Gingras)

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Nov 18, 1992

"Kindertotenlieder"&"Nuits d'été"mit Brigitte Balley in Osnabrück

(...) Und im vertieften Ausdruck des Entsetzens, aber auch der Befriedung kulminierte waehrend des aufgewuehlten Finales ihre (Brigitte Balleys) Zusammenarbeit mit dem Gastdirigenten Alexis Hauser, der die Osnabruecker Symphoniker zu unalltaeglicher Farbigkeit, Tiefenschaerfe und zu einer "Direktheit" des Zugriffs veranlasste, die sich nie in laermenden Aufwand verkehrte(...) Hauser dirigierte sein anspruchsvolles Programm auswendig, mit einer selbstverstaendlich erscheinenden Souveraenitaet und liess keine Zweifel an seiner ausgepraegten Mahler-Affinitaet, an Empfaenglichkeit fuer Seelenlage und Idiom des Komponisten, fuer die unverstellte Trauer und die eigene Qualitaet dieser Spaetlingsmusik. Nicht minder aufgeschlossen und entflammbar war Hauser zuvor dem Berlioz der "Nuits d'été" begegnet, als er dem hierzulande kaum bekannten(...) sechsteiligen Zyklus nach Gedichten ueber Liebe und Tod (...) seinen vollen, nuancenreichen Zauber abgewann. Er machte im Verein mit dem Orchester die sublime Lyrik, das kostbare Parfum einer nach "Jasmin, Patschuli und Rosen duftenden" Partitur gegenwaertig. (...)

NOZ

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Jan 19, 1989

Debut with Czech Philharmonic Brno - Mahler Symphony No. 2

"...Uplifting Resurrection:(...) I believe that this performance of Mahler's "Second" can be seen as an extraordinary one, in fact as a little “fete”...) For the ultimately impressive results takes the Austrian conductor Alexis Hauser(...) the lion's share. The performance of the symphony was not short of climaxes, its various parts carried different moods whereby that omnipresent mourning and a certain philosophizing, sometimes mystical sound were maintained throughout. Evidently, all instrumental groups took pains to live up to this crucial test in a most honest manner, - an extraordinary task indeed...The public's response to the concert was spontaneous."

FREE WORD

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Jan 16, 1989

Debut with Czech Philharmonic Brno - Mahler Symphony No. 2

"... The performance of this temporally fastidious work by Gustav Mahler was met with unusually tempestuous approval. The Austrian conductor Alexis Hauser oversaw the production. He conducted the orchestra from memory, with sweeping-expression and broad gesture, yet with exact precision and full of emotion. Hauser's electrifying personality was, no doubt, the best driving power for a complete performance by the Philharmonic. Each of the five movements of Mahler's "Second" was prepared to the last detail regarding proportion, dynamics and tone control. The work benefitted in general by a rather restrained finetuning of tempo flexibility which did not unnecessarily divide the flow of the music into small phrases. Also, Hauser used the sound volume with economy, only exceptionally - and always at the right moment - did he emphasize the fortissimo accent. Thus, a perfect intensification developed over the final part of the work, with a sonorous and logical "flowing in" of the chorus and the soloists. (...)

BRNENSKY VECERNIK

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Jan 16, 1989

Debut with Czech Philharmonic Brno - Mahler Symphony No. 2

Mahler "Resurrection" - Symphony with Czech Philharmonic Brno "Events from Mahler's Second:(...) Did the plan succeed in bringing out the broad ramification of Mahler's musical language for the crowds of curious listeners? I think yes, and in fact, to a full scale(...) the overall impression was excellent. The Austrian guest conductor Alexis Hauser directed the symphony by heart, he mastered its "heavenly wideness" with admirable style, recalling all the essences of Mahler's creativity in well-proportioned measures and keeping a uniform musical tension with still adequate contrast overall...."

ROVNOST

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RSO Wien -Debüt

“Ausgezeichnete Schlagtechnik:"(...)Die Jagd-.Symphonie von Haydn liess Hauser duftig, beschwingt und mit rhythmischem Puls spielen(...) Dass dieser junge Dirigent seine ausgezeichnete Schlagtechnik in den USA trainiert hat, bewies er auch bei Gottfried von Einems Orchestersuite "Pas de Coeur". Das ORF-Orchester spielte animiert, das Publikum war hoerbar angetan."

KURIER (Ludwig Flich)

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Debut in Canada – Montreal Symphony Orchestra

"...Après l'entracte, Alexis Hauser rentre seul en scène et cette fois, sans partition, s'apprete à démontrer que les symphonies de Schumann ne sont pas aussi aml orchestrées qu'on le prétend - Hauser, fidéle au désir du compositeur, ...fait toutes les reprises, sauf celle du dernier mouvement. Au cours de ce morceau final, il lui arrive deux ou trois fois de modifier le tempo, bien que rien dans le texte ne l'y autorise, mais, dans l'ensemble, il anime une interprétation qui a du style et qui a de la vie(...) Comme Karajan, dont il fut l'élève, Alexis Hauser aborde très lentement, presque mysterieusement, le passage de transition ("langsam") entre les troisième et quatrième mouvements. A la toute fin, par un grand geste des deux bras au-dessus de l'orchestre, il pousse la coda (schneller - presto) à une vitesse vertigineuse(...)"

LA PRESSE (Claude Gingras)

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Wiener Symphoniker (Sibelius und Debussy)

" (...)Alexis Hauser leitete die Symphoniker(...) man merkt: er hat in der Hand, was er gestaltet(...) Markig und sogar eindringlich sind seine Interpretationen. Kompakt baute er Sibelius' monumentale D-dur-Symphonie, die "Zweite" in ihrer herb-schönen Tonsprache auf; klar gliedert er Bloecke; wuchtige Steigerungen erzielte Hauser durch dynamische Zeichengebung. Dazu Jeux von Claude Debussy: aetherisch gelöst(...)"

KRONENZEITUNG

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Chicago Grant Park Festival - Shostakovich Symphony No. 5

"...Hauser hears the darker side of Shostakovich's message; so he opted for subdued colors, restrained tempos and scaled-down dynamics. Nevertheless, he managed to maintain interest in every bar of this expansive piece, and the way he did it was intriguing. Essentially, Hauser has the ability to underscore the significance of both small gestures and large ones. He turns every phrase for maximum melodic effect, but at the same time he takes great pains to emphasize the overall architecture of a work. Thus, he communicates to the listener via carefully chiseled melodic contours yet makes it quite clear where he is going with the piece as a whole. To Hauser, forward motion is crucial, and that is why he can make a performance interesting regardless of how introverted his interpretation happens to be."

CHICAGO TRIBUNE (Howard Reich)

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Liszt “Faust-Symphonie” - Montréal

Colossal maître d'oeuvre de l'opération qu'il avait entreprise, Alexis Hauser a signé là une autre magistrale réussite qui, encore une fois, suscite la question qu'il n'est pas politically correct de poser et que, pour cette raison, justement, j'ose poser: comment se fait-il que cet homme ne soit pas le chef de l'OSM? Comme toujours, Hauser dirigeait par coeur. Il avait mémorisé cette partition très touffue et très complexe de plus de 300 pages et en assurait la réalisation auprès d'un orchestre d'étudiants sans réelle expérience du concert, alors que bien des chefs n'osent prendre un tel risque même avec un orchestre professionnel. Il est clair que Hauser ne procède pas ainsi pour épater la galerie, mais tout simplement pour avoir les mains libres. Il sait exactement où se place chaque intervention importante dans le déroulement du discours et la souligne avec une énergie qui électrise à la fois les musiciens et les auditeurs. Hauser nous a donné là un Liszt d'un extraordinaire souffle romantique: un premier mouvement haletant et rêveur, un deuxième d'une extrême délicatesse, un troisième moqueur et déchaîné, assorti d'orgue. L'orchestre tout entier et ses composantes sonnaient avec le maximum de puissance et de beauté sonore. Les raffinements du mouvement central découvrirent quelques légères imprécisions de jeu. Peu importe. Je retiens plutôt la force unifiée des sept contrebasses, la griserie des flûtes et des clarinettes jouant par deux, les solos angoissés du basson (même si la jeune soliste a ignoré quelques indications «perdendo» de fin de phrase). 

LA PRESSE (Claude Gingras 2011)

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Alexis Hauser with Philippe Entremont in an All French program

"(...) Hauser puts out enough energy to light up any piece of music ....Insisting on utmost precision, his beat was clear, but he also added a body technique to his baton work that choreographed what he wanted.... and that was music of excitement, intensity, warm lyricism, and a very large degree of sheer beauty of balanced sound(..) ...the program ended with....Ravel’s Daphnis et Chloe, ... a show piece for both orchestra and conductor. And believe me, both made the very most of it... Conducting everything without a score, he (Hauser) was intense to the point of crackling and relaxed with a warm passion, mounting tensile climaxes and always aware of the line of the music.... The salvos of applause that echoed through the hall and the many recalls were completely deserved. The orchestra (Toledo Symphony) never sounded better..."

THE BLADE - TOLEDO, USA (Boris Nelson)

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Shostakovich Symphony No. 1 - Festival "Nouvelle Musique Montreal"

...Dirigeant de mémoire, le chef viennois Alexis Hauser en commanda une exécution flamboyante, marquant avec force, violence même, dissonances et changements de tempo, soulignant ainsi toute la modernité de cette partition de jeunesse..."

LA PRESSE (Claude Gingras 2003)

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Alexis Hauser with Maureen Forrester – Kansas City Philharmonic

(...) As did guest conductor Alexis Hauser, Miss Forrester avoided the hysterical intensity so often associated with Mahler's morbid but powerfully uplifting song cycle (Kindertotenlieder). Instead, the performers stressed the music’s mood of remembered anguish and bittersweet resignation. The result was as fascinating as it was moving. Tchaikovsky's "Pathetique" received a warmly expressive (...) performance. Mr. Hauser’ s mastery of long symphonic paragraphs and plastic phrasing confirmed the impression that he is the most impressive conductor who has led the orchestra all season.”

THE KANSAS CITY TIMES

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Debut - Wiener Symphoniker (Schönberg & Brahms)

"Alexis Hauser ist ein rasches Vorwärtskommen zu prophezeien. Perfekte Schlagtechnik, sicheres Auftreten, vor allem aber eine Portion gesunden musikantischen Temperaments, welches er auf das Orchester uebertragen kann, lassen ihn als einen Lichtblick in Österreichs Dirigentenmisere erscheinen(...) Prachtvoll zupackend, den Kontrast zwischen herber Grundstimmung und aufbluehenden Kantilenen plastisch herausarbeitend, gestaltete er die Vierte von Brahms wuchtig und intensiv. Und impulsiv, mit Augenmerk auf dramatische Steigerungen, zeichnete er die Spannungen und Loesungen der wuchernden Harmonik von Schoenbergs schwaermerischer, ekstatischer "Verklaerter Nacht" nach."

KRONENZEITUNG

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Rotterdam Philharmonic (debut)- Brahms Symphony No. 4

"...The Rotterdam Philharmonic again performs under a guest conductor this week...that the intended program did not have to undergo any alterations speaks very highly of Alexis Hauser who was deputized to conduct at the last minute. With this, Hauser...unexpectedly made his debut in our country (the Netherlands). It was an introduction that neither orchestra nor audience needed to regret. The real test for Alexis Hauser.. was naturally the Fourth Symphony by Brahms....Conducting from memory, Hauser gave proof of his thorough European training (in Vienna with Hans Swarowsky, in Siena with Franco Ferrara and in Salzburg with Herbert von Karajan) and his strong artistic personality through gestures that clearly reflected his convincing interpretation. The broad gestures, definitely appropriate for this romantic repertoire, express the need to sketch broad lines and to create an unlimited intensity of sound, which the orchestra provided without reserve. Fortunately Hauser kept his interpretation from becoming excessive by providing disciplined metric limitations for tone duration, which suits a symphony of such classical form as Brahms' Fourth. Even the enrgetic Scherzo retained satisfactory profile and it will only gain from the following performances when conductor and orchestra will be more used to each other...."

Elly Salomé

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Conductor Hauser impressive

"Conductor Hauser impressive: (...) after two days of rehearsals (he) succeeded in putting his own stamp on the Rotterdams Philharmonisch(...) Hauser was especially impressive in his ability to combine musical integrity with energy. That led right away to brilliant results in Wagner's Rienzi Overture. The strings and the winds created a muted but arresting sound which gave the music a mysterious quality. What was surprising was that with this Hauser could still effectively reproduce the frandiose and festive passages. That same combination was also captivating in the performance of Brahms' Fourth Symphony. Here even more so than in the Wagner the strings found _expression for the subtlety of the music, with which Hauser clearly distanced himself from the habit of making this work a pompous finale(...) ...The accompaniment (Schumann Cello Concerto) by Alexis Hauser was exemplary. Precise ensemble playing was achieved through his remarkably close contact with the soloist. Again, one was impressed with how secure and relaxed this conductor was, working without the use of any score."

Dirk Vooren

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New York City Opera debut – J. Strauss “Fledermaus”

"... First and foremost, Fledermaus" is a matter of how its bubbling and beautiful score is played and sung. The City Opera does handsomely by the music. The orchestra, playing crisply, was led very smartly by Alexis Hauser, who knew how to let the waltzes unwind with grace and rhythmic verve..."

NEW YORK TIMES (Raymond Ericson)

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Mahler Symphony No. 8 ("Symphony of a Thousand")

Since taking over the direction of Orchestra London Canada in 1981, Hauser has presided over the development of one of the most improved symphonic ensembles in the country... n o t h i n g could have dramatized its (Orchestra London's) growth more vividly than Thursday night's performance of the Mahler Eighth....Such was the young maestro's ability to sustain momentum and amalgamate his forces ..... that the performance carried enough impact to bring a capacity audience to its feet, cheering... Whether Mahler himself, a martinet among conductors, would have approved of the performance we shall, of course, never know. But with some of the world's leading Mahler specialists, including the composer's biographer, Baron Henry-Louis de la Grange, in smiling attendance, we may be permitted to guess."

TORONTO STAR ( William Littler)

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Shostakovich “Babi Yar” Symphony No. 13 - Montreal

This is a good year for the McGill Symphony Orchestra. Climaxes were as cataclysmic as could be imagined, yet with no tonal distortion or lapse in rhythmic thrust. Solos by bass Taras Kulish were dark and resonant, while the gentlemen of the Ganymède vocal ensemble and the McGill University Chorus offered support that seemed imported from the motherland. Diction was so clear that the listener got the sense of Yevtushenko’s harrowing reflections on the massacre at Babi Yar without reading the translation (and transliteration) provided.There were many fine instrumental interludes. Horns were steady and the tuba soloist evoked an atmosphere of foreboding. Strings were vivid. Not a moment sagged. Hauser conducted from memory, and like a master.

THE GAZETTE (Arthur Kaptainis)

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Shostakovich Symphony No. 1 - Festival "Nouvelle Musique Montreal"

"...Shostakovich’s Symphony No. 1 .... got an eloquent interpretation from Hauser and the McGill Symphony who, with excellent first-chair solos, painted a striking canvas of the music's irreverence, darkly coloured Slave melodies, mournful mood of dejection and energetic reassertion.

THE GAZETTE (Ilse Zadrozny, 2003)

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Debut in Chicago

"Hauser's authoritative debut on Friday, with an expertise worthy of the Chicago Symphony, proved that conductors are born, not made - and furthermore that he possesses credentials beyond memorization to become an exemplar of his generation(...) Hauser led with such technical clarity, totality of conception (...)Hauser conducted with a dynamic and individual (yet never driven or eccentric) performance of Mendelssohn’s "Italian" Symphony. Still a different timbre and weight of sound were drawn from this orchestra, with the bonus of a first-movement exposition repeat and a rhythmic impulse that reminded one of a younger Solti. I cannot recall a conducting debut of anyone at Hauser's age so controlled, concentrated, and comprehensively expressive since Ozawa's, at age 27 in the Ravinia pavilion.”

CHICAGO TODAY (Roger Dettmer)

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Debut in Norway with Berlioz “Symphonie fantastique”

Eloquent Gestures from the Conductor - Berlioz Symphonie fantastique in Norway "(...) And this was exactly what Alexis Hauser did in this concert, that with eloquent gestures he convinced both the orchestra and the audience about the vitality and drama in this music. He achieved this by working out the details, the whole sonority, and the drama of the music in a unique way and took the orchestra (Trondheim Symphony) to a high-leveled, full, and convincing performance.

ADRESSEAVISEN (Trond Arne Pettersen)

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Enescu Philharmonic Bucharest – Berlioz L'enfance du Christ"

"Alexis Hauser conducted everything by heart, showing an absolute knowledge of the score, with a precise gesture and efficiency..."

ACTUALITATEA MUZICALA, BUCHAREST (Viorel Cosma)

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"Fledermaus" in Chicago

"(...) The foundation for the success of this production was a first-class orchestra with a first-class conductor, Vienna-born Alexis Hauser. The music danced from start to finish, and the playing was marked by accuracy and taste as well as security in the style. Balances between stage and pit were consistently excellent."

CHICAGO SUN-TIMES (Robert C. Marsh)

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Berlioz – Roméo et Juliette in Montréal

"...Le chef autrichien avait tout mémorisé, orchestre et choeurs. Son respect et sons amour évidents de cette musique se manifestaient là, dans des gestes vifs, précis ou chaleureux, attentifs à tout ce qui se passait autour de lui. La très longue Scene d'amour, centre de l'oeuvre, révéla une masse de cordes parfaitement uniflée; en contraste, des trombones d'une puissance pénétrante, des bois sautillants et rieurs. À signaler, la perfection des passages à l'unisson(...) La participation chorale ne fut pas moins bonne, depuis le petit choeur, au tout début, jusqu'à la grande formation, partagée en deux groupes placés dans les galeries latérales et produisant un saisissant effet stéréophonique. Trés justes, en passant, ces quelque 250 voix de choeur.

LA PRESSE (Claude Gingras)

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Debut in France – Orchestre Nationale du Capitole – Toulouse

Hétéroclite, mais réussi: A la tete d'un orchestre du Capitole en grande forme, Alexis Hauser est passé avec un égal bonheur de Stravinsky à Rachmaninov puis à Schumann. Au premier, il apportait sa precision, son sens aigu des rythmes et des contrastes, avec aussi cette pointe d’ humour qui convient à une musique de ballet où abondent les clins d'oeil. Avec Rachmaninov, il a évité les allanguissements excessifs et les emportements racoleurs. Schumann enfin offrait les tourments du romantisme qu'il a traduit avec une belle flamme en équilibrant parfaitement l'architecture des différents mouvements

LA DEPECHE

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Suntory Hall, Tokyo - Mahler Symphony No. 6

the Vienna-born Hauser led the KCM musicians in an unprecedented performance that had almost everything going for it. Conducting without a score, he fused the young musicians into a beautifully working chamber ensemble, the most important test of good music making(...) The sprawling composition had cohesion and coherence. Not content with indicating entrances, Hauser telegraphed cues for the orchestra clearly to shape the style and expressive character of the music and the cantilena of the lines. Amazingly, the musicians just as clearly were used to listening - a capacity with which not all orchestras are conversant(...)Even with a genius like Hauser conducting, it was hard to believe that a university orchestra got so many things right(...) one of the most musical performances of Mahler's Tragic symphony I have had the pleasure of hearing.

THE JAPAN TIMES (Robert Ryker, 1998)

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Suntory Hall, Tokyo - Mahler Symphony No. 6

“….Quant à l'interprétation de l'Orchestre symphonique de McGill sous la direction d'Alexis Hauser, on ne peut qu'applaudir. Une fois de plus, le maestro a réussi à soutirer le maximum d'un orchestre d'étudiants des plus fervents et de solistes professionnels aguerris (la pianiste Kyoto Hashimoto, l'ondiste Estelle Lemire), sans pour autant rivaliser avec les interprétations de cette même oeuvre par de grands orchestres symphoniques professionnels. Dans un tel contexte, difficile voire impossible d'exiger davantage de cohésion, de précision, d'intelligibilité. Et il y a lieu de s'en réjouir.

LA PRESSE (Alain Brunet, 2015)

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"La clemenza di Tito" beim internationalen "Festival Mozart" in Klausenburg

(...) Hier muss an erster Stelle der "staendige Gastdirigent" unseres Festivals, Alexis Hauser, erwaehnt werden, dem es gelungen ist, in nur fuenf Tagen eine faszinierende Version der "Clemenza" zu verwirklichen. Er beherrschte die Oper nicht nur musikalisch souveraen, sondern erwies sich sowohl als Autor der Narration wie auch Regiefuehrer der Auffuehrung als ein tiefer und feinsinniger Kenner der Kroenungsoper. Dass er sich so ausgiebig der Regie widmen konnte, ohne die musikalische Verwirklichung seiner hoechst dramatischen Werkauffassung zu gefaehrden, war vor allem seinem ausgezeichneten Korrepetitor Adam Ronai zu verdanken..."

SOCIETATEA ROMANA MOZART

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Mahler Symphony No. 8 ("Symphony of a Thousand")

"..... a splendid performance of Mahler's incredible work....Although Symphony No. 8 is enigmatic and even exotic in many ways, it also proved Hauser's own conviction that it blends Mahler's concept of universal and intensely intimate feelings in surprisingly accessible form..... Conducting entirely from memory, Hauser seemed to probe every moment of the controlled swell of voices, setting balance and timbre, targeting clean choral entries and highlighting the ever-changing sections and soloists of an orchestra that Mahler himself treated as closely aligned individuals."

RECORD SHOWCASE (Pauline Durichen)

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Debut in Canada – Montreal Symphony Orchestra

"...The major work on the program was Schumann's familiar Symphony No. 4. Of all of the Schumann symphonies this has the greatest immediate appeal and the largest number of yawning pitfalls. Hauser not only evaded all of the latter successfully, but he also managed to make his very individual performance sound thoroughly convincing.
More important, he kept the orchestra glued to him through some of the wildest changes of tempo I have ever heard in this work - no small feat at a debut concert.
Most important, Hauser never lets the musicians merely play notes. The phrases are always clearly shaped, and they always end properly. Unlike so many young conductors, Hauser never throws the end of a phrase away. This made his reading of the Schumann more than usually interesting and made me want to hear him again in coming seasons in more demanding repertoire(...)"

THE GAZETTE (Jacob Siskind)

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Bruckner Orchester Linz - "Romeo et Juliette" von Berlioz

"Alexis Hauser ist ein ausgezeichneter Dirigent, dem man exakte Schlagtechnik nachruehmen kann, gute Uebersicht und das Vermoegen, sich den Musikern unmissverstaendlich mitzuteilen. Ein schwieriges Stueck wie..."Romeo und Julia" von Berlioz lag ganz auf seiner Linie. Das Bruckner-Orchester erreichte....auffallend gute Form und einen kultivierten, transparenten Gesamtklang..... Durch die ueberzeugende Konzeption Hausers und seine energische Detailarbeit formte sich insgesamt eine Darstellung auf bemerkenswertem Niveau."

SALZBURGER NACHRICHTEN

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Beethoven “Eroica” – A heroic performance by the McGill Symphony Orchestra

“In the Eroica of Beethoven, Alexis Hauser had his MGSO musicians at the top of their skills throughout the performance which lasted about 49 minutes, including pauses between movements.  The first violins were placed stage left, and the second violins and violas stage right, enabling the audience to see, and not only hear, the intricacies of Beethoven’s writing.

Stephen Fogarty (2012)

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Debussy “Trois Nocturnes” & Shostakovich “Babi Yar”

La juxtaposition du délicat Debussy et du tonitruant Chostakovitch crée un inhabituel contraste que Hauser souligne d'autant mieux qu'il tire le maximum de chacune des deux oeuvres. Une fois de plus, il nous étonne en dirigeant le concert entier de mémoire, ce qui est particulièrement à signaler dans le très long Chostakovitch où sont sollicités, pendant 63 minutes, un orchestre et un choeur constitués d'étudiants. L'hommage à Debussy est un peu plus modeste: 37 minutes. Le chef autrichien imprime une sorte de sensuelle mobilité aux Nuages qui ouvrent le triptyque. Le cor-anglais est impeccable dans sa petite phrase répétée, le chef conclut en suivant à la lettre ce que Debussy demande: «plus lent»...«encore plus lent». Il lance ensuite tout l'orchestre dans d'éblouissantes Fêtes aux lointaines trompettes en sourdine. Les voix de Sirènes manquent un peu d'homogénéité cependant et sont même légèrement fausses au début. Le Chostakovitch est bouleversant… Pour le premier mouvement, Hauser revient au texte original, ignorant donc (et avec raison) la version contenant les retouches que les autorités soviétiques avaient imposées aux auteurs. Manifestement très inspiré par le sujet et aiguillonnant l'orchestre et le choeur avec une énergie de tous les instants, Hauser reconstitue la fresque de Chostakovitch dans sa pleine et terrifiante réalité. Les envolées rageuses et extrêmement dissonantes de tout l'orchestre, le tuba solitaire et les sourdes timbales de la peur, les sifflements sardoniques des bois, les accents moqueurs émanant des petites percussions ou du choeur : tout est là. Quelle passionnante expérience, après l'inexistant Chostakovitch du nouveau venu Petrenko plus tôt.

LA PRESSE (Claude Gingras)

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Debussy “Trois Nocturnes” & Shostakovich “Babi Yar”

In the first movement, the greatest in all symphonic music, the MGSO soared in the mighty crescendos and let us feel all the dissonances, which so shocked the music world at its Vienna premiere in April 1805.  The second movement funeral march was played with great conviction and dignity. In the scherzo third movement the violin and viola players’ bows danced on the strings with great effect and the French horn section was outstanding. 

CHICAGO SUN-TIMES (Wynne Delacoma)

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Wiener Symphoniker (Sibelius und Debussy)

In the finale Maestro Hauser’s direction yielded enthusiastic yet precise playing.  The oboists deserve particular mention.  The musicians earned a loud and long applause.

DIE FURCHE

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RSO Wien -Debüt

"...Gleich zu Beginn, bei der Wiedergabe von Haydns reizender Symphonie D-Dur HV I/73 ("Die Jagd"), konnte Alexis Hauser voll ueberzeugen(...) es gelang ihm eine Interpretation aus einem Guss, die sich durch Lockerheit, natuerliche Tempi und Vitalitaet auszeichnete.(...) Anschliessend hoerten wir Gottfried von Einems Orchestersuite aus dem Ballett Pas de Coeur (1952). Auch diese Partitur mit ihrer rhythmischen Vielfalt hatte Hauser bestens im Kopf. Nach der Pause erklang das Vorspiel zur Oper Fredigundis von Franz Schmidt. Der Dirigent liess ihr eine packende Wiedergabe angedeihen. Den Abschluss des Abends bildete die Suite aus Straussens "Rosenkavalier". Mit der berueckenden Schoenheit dieser Musik wusste Hauser viel anzufangen, was ihm einen grossen und verdienten Publikumserfolg einbrachte. Das sehr animiert spielende ORF-Symphonieorchester ( RSO Wien) zeigte sich mit seinem Dirigenten eines Sinns."

WIENER ZEITUNG

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RSO Wien -Debüt

"Arkadenhof mit praechtigem Dirigenten: (...) Das Erstaunlichste wohl der Wiener Alexis Hauser, der da als Gastdirigent mach Wien kam und das ORF-Symphonie-Orchester im Griff hatte, als waere er sein Chefdirigent..."

AZ

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