Alain Brunet
Feb 28, 2015
(...) Quant à l'interprétation de l'Orchestre symphonique de McGill sous la direction d'Alexis Hauser, on ne peut qu'applaudir. Une fois de plus, le maestro a réussi à soutirer le maximum d'un orchestre d'étudiants des plus fervents et de solistes professionnels aguerris (la pianiste Kyoto Hashimoto, l'ondiste Estelle Lemire), sans pour autant rivaliser avec les interprétations de cette même oeuvre par de grands orchestres symphoniques professionnels. Dans un tel contexte, difficile voire impossible d'exiger davantage de cohésion, de précision, d'intelligibilité. Et il y a lieu de s'en réjouir. (...)
(...) Quant à l'interprétation de l'Orchestre symphonique de McGill sous la direction d'Alexis Hauser, on ne peut qu'applaudir. Une fois de plus, le maestro a réussi à soutirer le maximum d'un orchestre d'étudiants des plus fervents et de solistes professionnels aguerris (la pianiste Kyoto Hashimoto, l'ondiste Estelle Lemire), sans pour autant rivaliser avec les interprétations de cette même oeuvre par de grands orchestres symphoniques professionnels. Dans un tel contexte, difficile voire impossible d'exiger davantage de cohésion, de précision, d'intelligibilité. Et il y a lieu de s'en réjouir. (...)