LA PRESSE (Claude Gingras)
"...Après l'entracte, Alexis Hauser rentre seul en scène et cette fois, sans partition, s'apprete à démontrer que les symphonies de Schumann ne sont pas aussi aml orchestrées qu'on le prétend - Hauser, fidéle au désir du compositeur, ...fait toutes les reprises, sauf celle du dernier mouvement. Au cours de ce morceau final, il lui arrive deux ou trois fois de modifier le tempo, bien que rien dans le texte ne l'y autorise, mais, dans l'ensemble, il anime une interprétation qui a du style et qui a de la vie(...) Comme Karajan, dont il fut l'élève, Alexis Hauser aborde très lentement, presque mysterieusement, le passage de transition ("langsam") entre les troisième et quatrième mouvements. A la toute fin, par un grand geste des deux bras au-dessus de l'orchestre, il pousse la coda (schneller - presto) à une vitesse vertigineuse(...)"
"...Après l'entracte, Alexis Hauser rentre seul en scène et cette fois, sans partition, s'apprete à démontrer que les symphonies de Schumann ne sont pas aussi aml orchestrées qu'on le prétend - Hauser, fidéle au désir du compositeur, ...fait toutes les reprises, sauf celle du dernier mouvement. Au cours de ce morceau final, il lui arrive deux ou trois fois de modifier le tempo, bien que rien dans le texte ne l'y autorise, mais, dans l'ensemble, il anime une interprétation qui a du style et qui a de la vie(...) Comme Karajan, dont il fut l'élève, Alexis Hauser aborde très lentement, presque mysterieusement, le passage de transition ("langsam") entre les troisième et quatrième mouvements. A la toute fin, par un grand geste des deux bras au-dessus de l'orchestre, il pousse la coda (schneller - presto) à une vitesse vertigineuse(...)"