LA PRESSE (Claude Gingras)
"...Le chef autrichien avait tout mémorisé, orchestre et choeurs. Son respect et sons amour évidents de cette musique se manifestaient là, dans des gestes vifs, précis ou chaleureux, attentifs à tout ce qui se passait autour de lui. La très longue Scene d'amour, centre de l'oeuvre, révéla une masse de cordes parfaitement uniflée; en contraste, des trombones d'une puissance pénétrante, des bois sautillants et rieurs. À signaler, la perfection des passages à l'unisson(...) La participation chorale ne fut pas moins bonne, depuis le petit choeur, au tout début, jusqu'à la grande formation, partagée en deux groupes placés dans les galeries latérales et produisant un saisissant effet stéréophonique. Trés justes, en passant, ces quelque 250 voix de choeur.
"...Le chef autrichien avait tout mémorisé, orchestre et choeurs. Son respect et sons amour évidents de cette musique se manifestaient là, dans des gestes vifs, précis ou chaleureux, attentifs à tout ce qui se passait autour de lui. La très longue Scene d'amour, centre de l'oeuvre, révéla une masse de cordes parfaitement uniflée; en contraste, des trombones d'une puissance pénétrante, des bois sautillants et rieurs. À signaler, la perfection des passages à l'unisson(...) La participation chorale ne fut pas moins bonne, depuis le petit choeur, au tout début, jusqu'à la grande formation, partagée en deux groupes placés dans les galeries latérales et produisant un saisissant effet stéréophonique. Trés justes, en passant, ces quelque 250 voix de choeur.